« Eh, va pas faire un portrait larmoyant ? Parce que c’est pas ça, ma vie !
— Non mais bon, quand même… »
L’exploitée du mois : Jezabel, l'exploitée familiale
Par Cyril Pocréaux
Jézabel me prévenait, gentiment. Mais bon, « quand même », comme je disais, on en était au stade de son burn out, y a quatre ans. À cause d’un boulot qui ne devrait jamais provoquer ça : « J’étais instit’, en CM2, et j’adorais mon métier. Mais, petit à petit, le système partait en couilles, et moi aussi, du coup. Ça a été assez violent. J’ai tenu, mais j’étais épuisée. Je me suis promis de ne plus y retourner. Aujourd’hui encore, j’en fais des cauchemars. » Ne vous inquiétez pas trop : Jéza a trouvé le remède. Un remède sauce fakirienne. « Ce qui m’a plu à Fakir, c’est de militer dans la joie. Parce que, parfois, c’est difficile, hein, militer. Mais là, on fait ça avec de l’humour, sur des choses positives, et ç
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