« Moi si j’étais un homme, je serais capitaine… » C’est en marge d’une soirée karaoké qu’Emmanuel Macron a appelé à l’apaisement des relations hommes‑femmes mises à mal selon lui par des « polémiques de caniveau type Mazan », le procès de Dominique Pélicot. Et regretté le temps où les femmes faisaient encore l’effort de comprendre les hommes. Et de rester à leur place : « quand on est femme, on ne dit pas ces choses‑là », comme dit la chanson.
#Mytho
Par Valéry Chartier
![](IMG/logo/sans_titre-11_1_-2.jpg?1734432372)
#Mytho
« Il est temps de sortir du délire hystérique de #MeToo. » Pour Emmanuel Macron, le procès de Mazan marque la fin d’une époque. « On est allé trop loin et les réquisitoires abracadabrantesques du procès Pélicot en sont la preuve » : le Président veut en finir avec ces fausses accusations, ces fake news, ces « fuck news » comme ils les appellent. « Je ne laisserai plus dire que tous les hommes sont des violeurs. »
Le hashtag #Mytho a ainsi envahi la toile pour mettre en lumière ces vies d’hommes brisées par des femmes cupides et revanchardes : « Les hommes ont le droit de se défendre ! » Car si les antennes sont saturées par les féminicides et autres viols, il ne faudrait pas oublier que derrière le « tintamarre médiatique » il y a des hommes aux vies sociales dévastées, qui se cachent ou qui n’osent plus draguer. « La honte doit changer de camp. »
« Gérard Depardieu, PPDA, Nicolas Hulot, l’Abbé Pi
Article réservé aux abonnés
Abonnez-vous
Notre offre d’abonnement numérique (avec tous les articles du journal + les articles du site en exclusivité + les vidéos Fakir TV + nos podcasts + 25 ans d’archives du journal, rien que ça ! ) sera bientôt disponible. Vous voulez être tenu au courant de sa mise en place ? Et profiter de notre offre de lancement ? Laissez-nous votre mail, qu’on vous prévienne !