Chères forces vives de la nation fakirienne, le 1er mai approche à grands pas… Et avec lui, ses cortèges joyeux et revendicatifs.
Cette année encore, malgré un emploi du temps suicidaire, [**Fakir*] se montre combatif. L’inertie du pouvoir en place, ou plutôt son application à satisfaire le camp d’en face, nous y incite. Nous y oblige.
Nous avons édité un nouveau [**Tchio Fakir*] : « Essayer quelque chose »(en PDF ici), qui, grâce à vous, va submerger le territoire.
[*Sans vous, on (...)