Nous : notre assurance journalistique

Qu’aurions-nous à raconter, sans les gens et ce qu’ils nous apprennent depuis vingt-cinq ans ?

Publié le 30 avril 2024

«Alors, qu’est-ce qu’on a déjà écrit sur le sujet ? » C’est devenu le grand refrain, chaque jeudi au canard, à l’heure de pondre notre newsletter hebdomadaire*. « Qu’est-ce qu’on a écrit sur le sujet ? » Pour faire écho à l’actualité, cette « actu » qu’on a toujours regardée de loin, à Fakir, on ne s’appuie pas sur rien. On partage avec vous, à chaque fois, et en accès libre, un ou deux articles de nos archives. Vingt-cinq années de reportages, de paroles, d’enquêtes, des centaines, des milliers peut-être de rencontres. Cette mine d’or, à nos yeux, c’est davantage que le moyen de nourrir notre newsletter* : tout ce qu'on a écrit depuis nos débuts, et ce qu’on écrit encore numéro après numéro, c’est le moyen de s’appuyer sur une réalité. D’ancrer ce qu’on raconte dans le concret, le réel. Clément, notre (excellent) chargé de com’, me suggérait, récemment, qu’on pourrait pour nourrir notre newsletter commenter l’actualité « à la sauce Fakir ». Pour mieux y coller, nous qui ne sortons (pour l’instant, mais ça va changer) que tous les deux mois et demi, rythme étrange. Je ne pense pas que commenter suffise. C’est quoi, de fait, la sauce Fakir ? Aller voir les gens, les rencontrer sur le terrain, en reportage, les écouter parler, parler, parler, et noter, noter, noter, pour raconter tout ça dans le journal. Voilà vingt-cinq ans qu'avec François, en grande partie, mais d’autr

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