n° 115  

Nous : le clébard, son maître et nos maîtres

Par Cyril Pocréaux

De la promenade du chien au combat pour la démocratie... Rien que ça, oui !

« Eh, vous avez vu, là, le petit trou dans le plafond ?

— Ah ouais… C’est bizarre quand même, d’où il sort ? Il n’était pas là vendredi.

— Y a juste la place de laisser passer un tube avec une micro‑caméra au bout ! »


Avec l’approche du procès de Squarcini, l’ancien chef des Renseignements, et de l’espionnage de Fakir à l’époque de Merci Patron ! (voir page 8 et suivantes), nous voilà retombés dans la suspicion active, comme de vieux réflexes, une sorte d’inconscient qui se réveille : la sensation qu’on peut être espionnés, écoutés, et que ce n’est pas de la parano.

Il y a cette histoire, aussi, de ce gars qui promenait son chien devant Fakir, tous les matins, les semaines qui précédaient le procès. Clément et

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