Nous : un canard à l’espoir
C’est vos témoignages qui nous en persuadent : il est utile, notre canard. Alors, on doit tenir la barre !

Publié le 20 mai 2022
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« Et encore merci pour tout ce que vous faites ! Vos articles sont géniaux et ça me donne beaucoup d'espoirs. » Le tout accompagné d’un petit smiley (que mon vieux téléphone a toujours du mal à afficher). C’est une abonnée de Fakir, rencontrée sur un reportage, qui m’envoyait ce texto.
Je me suis (re)posé la question : à quoi il sert notre canard, qui est un peu, et même beaucoup, le vôtre ? à vous amener de l’info, certes, « mais on n’est pas là que pour ça ! », rappelle Ruffin chaque fois qu’on aborde le sujet, et il a raison – le patron a toujours raison. à passer à l’action, oui, évidemment, comme une suite logique, comme on l’a fait avec nos copains d’Écopla, de Sanofi, avec madame Gueffar et d’autres. à autre chose, aussi, il semblerait donc : à donner de l’espoir. Pas des tonnes, sans doute, et à notre modeste échelle, mais enfin, un peu, quelques graines, de quoi germer, peut-être, plus tard. Honnêtement, j’en ai parfois douté, sorte de scepticisme naturel. Mais vos témoignages se succèdent, souvent, vos courriers, les encouragements chaque fois qu’on parle du canard avec un lecteur. Le signe, sans doute, que Fakir n’est pas totalement inutile, même après 22 ans...
N’empêche, et peut-être justement grâce à ce constat : il faut qu’on se bouge. Qu’on tienne la barre, fidèles au contrat moral (dérangeons les grands mots !), ou au moins aux liens qui nous unissent. Une fois quâ
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