L'actu parodiée par Valéry Chartier, de l'agence La France d'après.
Consentement démocratique

« Que les choses soient bien claires. Il n’y a eu ni vol, ni viol démocratique. Je ne suis pas un violeur. » Alors même que la France avait dit non à l’extrême-droite, Emmanuel Macron a décidé d’installer ses idées au pouvoir. « Il y a des non qui veulent dire oui. » Et le Président de rappeler que la France avait eu un comportement tendancieux à l’égard du Rassemblement National : « Si on regarde CNews, après on ne vient pas pleurnicher sur les libertés publiques. »
Aux accusations de « soumission autocratique », le Président a tenu à répondre très clairement. « Il est faux de dire que j’ai offert la France aux multinationales pendant son sommeil démocratique. La France était pleinement consentante pour la fin de l’ISF et le CICE. » Et d’ajouter : « Et en plus, elle faisait semblant de dormir. »
Il est donc temps de mettre fin à cet ersatz de #MeTooDemocratie. « Nous n’aurons pas de pudeur de gazelle. » Michel Barnier l’a assuré, le gouvernement n’aura « aucun tabou » et il est prêt à toutes les pratiques, même les plus dégradantes, pour assouvir les besoins patronaux. « Mais nous nous assurerons toujours du consentement. » Celui du Rassemblement National.
Suppression de l’AME

« La Fra



