28/11/2010
« Ils filment et regardent ensuite les vidéos, pour améliorer l’équipe. Et entre les différents clubs de France, ils se parlent. J’ai su qu’il y avait un classement national, et qu’à Nancy, on a été les plus forts durant deux ans. » Je buvais de l’eau pétillante au bistro. Lulu entre. (...)
« Ils filment et regardent ensuite les vidéos, pour améliorer l’équipe. Et entre les différents clubs de France, ils se parlent. J’ai su qu’il y avait un classement national, et qu’à Nancy, on a été les plus forts durant deux ans. » Je buvais de l’eau pétillante au bistro. Lulu entre. Vite, je remplace mon Perrier par un baron de bière : faut que je sois crédible. C’est pas tous les jours que j’interviouve un « fighter » (ce que les médias appellent « (...)
20/07/2010
Les lecteurs de Fakir en sont blasés, les reporters aussi : encore une fermeture d’usine, métallurgie cette fois. Encore des machines à l’arrêt. Encore un bâtiment silencieux. « On va boire un coup avec les collègues de la maintenance. » À travers le dédale des ateliers, on suit (...)
Les lecteurs de Fakir en sont blasés, les reporters aussi : encore une fermeture d’usine, métallurgie cette fois. Encore des machines à l’arrêt. Encore un bâtiment silencieux. « On va boire un coup avec les collègues de la maintenance. » À travers le dédale des ateliers, on suit Rémi, mécano, on grimpe puis redescend trois escaliers, jusqu’au vestiaire. Ambiance morose, évidemment : les licenciements se terminent rarement dans la liesse. Dans les placards (...)
05/06/2010
Avant de m’amener sur son île, David, mon beau-frère martiniquais m’avait déjà offert, en banlieue parisienne, un aperçu des coutumes antillaises. Des ti-punchs à me retourner le crâne, moi, le buveur de Schnaps lorrain. « Mais tu sais, ces doses-là, chez moi, ce sont les grands-mères (...)
Avant de m’amener sur son île, David, mon beau-frère martiniquais m’avait déjà offert, en banlieue parisienne, un aperçu des coutumes antillaises. Des ti-punchs à me retourner le crâne, moi, le buveur de Schnaps lorrain. « Mais tu sais, ces doses-là, chez moi, ce sont les grands-mères qui les boivent. » J’ai d’abord pris ça à la blague. Mais c’est dans l’avion, à peine quitté la piste d’Orly, que j’ai hésité : un Martiniquais, assis dans la rangée voisine, (...)
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