Jean Teulé s’est barré. Son air d’éternel ado rêveur va nous manquer.
Son talent gentiment déjanté aussi, que, tout gosse, on avait découvert à la télé, puis comme écrivain, et quel écrivain bordel !, avec Darling, Je, François Villon, Le Montespan, Mangez-les si vous (...)
Jean Teulé s’est barré. Son air d’éternel ado rêveur va nous manquer.
Son talent gentiment déjanté aussi, que, tout gosse, on avait découvert à la télé, puis comme écrivain, et quel écrivain bordel !, avec Darling, Je, François Villon, Le Montespan, Mangez-les si vous voulez…
Alors, on est d’autant plus heureux, ou un peu moins tristes, d’avoir vécu avec lui une aventure : la réédition, y a deux ans, de Gens de France, peut-être sa (...)
Jean Teulé s’est barré. Son air d’éternel ado rêveur va nous manquer.
Son talent gentiment déjanté aussi, que, tout gosse, on avait découvert à la télé, puis comme écrivain, et quel écrivain bordel !, avec Darling, Je, François Villon, Le Montespan, Mangez-les si vous voulez…
Alors, on est d’autant plus heureux, ou un peu moins tristes, d’avoir vécu avec lui une aventure : la réédition, y a deux ans, de Gens de France, peut-être sa grande œuvre, avec dedans le soutien-gorge de Zohra, (...)