1) Parce qu’aucun milliardaire ne paie nos salaires.
Fakir, c’est une presse libre et indépendante, sans pub ni actionnaire, ni Arnault, ni Bolloré, ni Lagardère. Fakir est indépendant de tout parti, tout syndicat, toute institution, et fâché avec tout le monde, ou presque !
2) Parce que ça embêtera Bolloré.
Depuis que le milliardaire d’extrême-droite vire la presse indépendante (ou de gauche) de ses kiosques Relay pour la remplacer par ses propres titres, nos ventes ont chuté dans les grandes villes… Alors, s’abonner à Fakir, c’est aussi lutter contre Bolloré, ses médias et son monde.
3) Parce qu’on a vachement investi, et qu’on flippe !
On n’en dort plus la nuit, même : on doit arriver à 3000 abonnés pour juste survivre, et 5000 dans l’idéal, pour s’offrir du pâté picard et des chips à chaque repas, le grand luxe. On en est presque à 2000, aujourd’hui. Aidez-nous à passer ce cap !
4) Parce que Fakir raconte la vie des gens, la vraie.
Fakir, c’est un canard où les journalistes vont sur le terrain, pas sur Google. Où on enfile les godasses, on prend le train (ou le vélo), on va causer avec les ouvriers, les chômeurs, les révoltés, et même les petits patrons, bref, tous les invisibles qui tiennent le pays. Et on laisse les grands de ce monde à Paris Match et au Figaro.
5) Parce que franchement, à 3 € par mois, qui dit mieux ?
Oui, vous avez bien lu : les enquêtes et reportages du site, plus ceux du journal dès sa sortie, plus Fakir TV, plus nos archives, un millier d’articles et 25 ans de la vie des invisibles, tout ça pour 3 euros par mois seulement ! Des bouts de vie, des révoltes, des combats et des luttes, du rire et des larmes à ce prix-là, ça ne se refuse pas.
6) Parce que vos premiers retours sont enthousiastes
« Franchement, ça fait du bien de pouvoir lire Fakir plus souvent que tous les trois mois, il était temps ! » (Mathilde, du 77.) « J’espérais vous voir passer en mensuel, mais là c’est tout aussi bien, c’est même mieux, c’est tous les jours. Bravo. » (Sébastien, de Figeac.) Ne serait-ce que ces derniers temps, on vous a livré une enquête sur le scandale Intelcia et France Travail, une autre sur les morts de la rue, on a relayé les voix de Gaza, révélé le double-jeu de Macron à Choose France, causé de Darmanin et des prisons, de la grève des taxis, des lobbys de la mer, accueilli Laurence De Cock puis Philippe Rio en entretien, causé des 20 ans du référendum de 2005, de l’enjeu de l’hygiène menstruelle, de viols dans l’Église…
7) Parce qu’on vous fait sourire, même quand c’est pas drôle.
Fakir, c’est un journal rigolo sur la forme, sérieux sur le fond. Oui, le monde est moche, souvent, mais on en tire aussi la beauté, la force et l’espoir, des visages et des âmes pour lutter contre l’apathie, maintenir une lueur dans les regards, et emporter les cœurs.
Et donner, encore et toujours, l’envie de lutter.
8) Parce que la politique, c’est pas que dans les urnes.
C’est aussi dans la rue, à l’usine, à l’hôpital.
Et dans les colonnes d’un journal qui n’a pas oublié ce que « militer » veut dire.
Parce qu’un jour, vous devrez expliquer à vos gosses pourquoi vous n’avez rien foutu.
Et vous pourrez dire : « J’ai pas rien foutu : j’étais abonné à Fakir. »
9) Pour briller (et convaincre) dans les repas de famille (ou en société).
Rien de tel que les témoignages, les visages et les voix que vous lirez et entendrez sur notre site pour vous motiver à clouer le bec au tonton réac, à la cousine macroniste. Ou au patron qui ne veut pas augmenter les salaires dans votre boîte.
10) Parce que si vous êtes arrivé à lire ce texte jusqu’ici, franchement, c’est que vous nous aimez. Et nous, on vous aime aussi ! Alors, sautez le pas, abonnez-vous à Fakir ! Parce que sans vous on ne peut rien, mais qu’avec vous on peut beaucoup !