Quels fayots ! Vous êtes (vraiment) les meilleurs !

Publié le 20 juin 2025

Vous connaissez notre mythique rubrique, la Palme du Fayot, qui récompense dans chaque numéro le lecteur le plus flagorneur, la lectrice la plus admiratrice ?

Ben là, c’est pas un Fayot ou une Fayote qu’on pourrait récompenser.

C’est des convois, des bataillons, une armée entière, que vous formez, quand vous nous parlez du site Fakir.

On les classe en deux catégories, en gros, vos courriers…

Les prévenants, d’abord.
Ceux qui s’inquiètent pour la santé du rédac’ chef, pas loin du malaise, vous vous en souvenez. Il y a Julia : « J’ai pas pu résister quand j’ai vu dans quel état de stress ça mettait le rédac chef qui regarde les chiffres des abonnés, alors, je mabonne, oui. Faut pas qu’il nous claque entre les doigts. Et puis au moins, comme ça je culpabiliserai plus si j’oublie d’acheter Fakir au kiosque. »

Ahmed, de clermont-Ferrand (63) : « Le rédac chef m’a fait un peu pitié [NDLR : on lui dira pas comme ça…] et je me suis dit qu’il fallait faire ma part. Comme vous dites bien quand on n’a pas le temps de militer ou d’être bénévole, aider Fakir c’est comme aider des gens qui militent pour nous. »

Mais on aime par-dessus-tout Michèle, du Bar-sur-Loup (06) : « Impossible de rester sourde aux appels déchirants de Cyril P. » et qui, « pour contribuer au lancement de votre site », et alors qu’elle nous avoue pourtant être « site-phobe », nous envoie un chèque de 360 euros, de quoi prendre une douzaine d’abonnements annuels pour elle et ses amis !

Ça c’est une idée ! En voilà, de la prise d’initiative : offrir un abonnement numérique Fakir à vos amis ! Le cadeau idéal, pas cher, qui vous vaudra reconnaissance éternelle ! (En précisant bien l’e-mail du destinataire dans la case « Notes de commande » pour que Magalie s’y retrouve !)

Mais Michèle n’est pas la seule, à mériter notre reconnaissance.

On vous avait parlé de Geneviève, qui nous a envoyé une pleine boîte de chocolats.

De Denis, aussi, tout surpris de voir un abonnement à un prix aussi abordable (pour mémoire, 3 € par mois ou 30 € par an seulement) : « Moi qui ai un budget de retraité, quand je prends l’abonnement à l’année cela me revient à 2,5 euros par mois, ça me convient bien !!! », se réjouit-il.

Et puis, dans vos courriers, il y a les conquis, ensuite.
Parce que, et c’est bien le plus important, pour nous, il a l’air de vous plaire, notre site.

Sandrine, de Montpellier, déjà lectrice : « Franchement je m’interrogeais mais je retrouve bien l’esprit et le ton du journal, avec de nouveaux articles plus courts aussi, du coup on a vraiment beaucoup de choix, c’est top. » Ou Cécilien, qui lui ne connaissait pas Fakir jusque-là (si, c’est possible) : « Je suis étudiant et je n’achète pas vraiment de journaux, mais un copain m’a parlé de votre site, depuis je dévore les archives, les dossiers, tout ce qui était publié dans le journal, mais en ligne, quoi. »

D’ailleurs, rien que ces derniers jours, on vous a proposé les premiers résultats des cahiers de doléances des Gilets jaunes, livré notre entretien, avec le sociologue Fabien Truong, parlé de féminisme avec Anne-Cécile Mailfert, raconté la vie de Christophe, licencié quatre fois en sept ans, on a levé le voile sur le Sénat qui refuse la taxe Zucman sur les ultra-riches…

Bref : pour finir, on a relu, la larme à l’œil, le petit mot de Julien : « J’espère de tout cœur que ce plafond des 3000 abonnés va arriver pour que vous puissiez tous partir en vacances sans avoir à vous trimballer des tas de Fakir à vendre à la criée sur les plages ! »

Ça commence à se dessiner, Julien.

On vous rappelle les enjeux, pour nous : à 3000 abonnés, on survit, la tête hors de l’eau, la bouche qui dépasse tout juste pour respirer.

A 4000, on se dégage un petite marge, on peut investir sur de nouveaux projets, sur Fakir TV, ou relancer de gros évènements comme le 30 avril dernier.

5000 abonnés ? Là, c’est le grand luxe : pâté picard et chips à tous les repas pour les bénévoles et les salariés, en plus de tout ce qu’on a dit avant.

Alors, pourquoi attendre pour s’abonner ?
S
autez le pas : c’est maintenant, qu’on a besoin de vous.
Maintenant, oui !
Dès la fin de ces lignes : rendez-vous sur la page dédiée, pour un accès illimité à tous les reportages et articles du site, plus ceux du journal, plus Fakir TV, et puis nos archives, un trésor, près d’un millier d’articles numérisés, 25 ans de la vie des invisibles racontée par Fakir, des bouts de vie, des révoltes, des combats et des luttes, du rire et des larmes.

Avec une satisfaction, en prime : lutter d’un même geste contre Bolloré, ses médias et son monde, et pour une presse indépendante, sans pub ni actionnaires.

Vous abonner à Fakir, c’est déjà un acte militant. Pour permettre la réalisation d’un journal, d’un site, d’une télé, l’organisation de grands événements, la publication de bouquins, de Tchios Fakir gratuits… et notre survie !

On y croit : ils ont les sous, mais nous on vous a, vous !

Alors, qu’attendez-vous ?

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