Les raisons de la colère

250 000 emplois menacés en France. « Un tsunami » sur le terrain, dixit Christophe, ouvrier chez Stellantis. Ouvriers à la Fonderie de Bretagne, chez Stellantis, Michelin, soignantes, enseignantes… Ce jeudi 12 décembre, Fakir est allé donner la parole aux salariés en lutte aux quatre coins du pays. Reportages.

Publié le 13 décembre 2024

« J’ai la rage, face à la casse de l'industrie. La rage face à la casse de l'automobile en France. Chez nous, Stellantis Mulhouse, c’est 450 emplois supprimés. Derrière, c’est 1200 emplois supprimés chez les sous-traitants. On ne le dit pas assez : un emploi direct supprimé, c’est trois emplois indirects menacés derrière. En tout, ça fait 200 000 à 300 000 emplois menacés. C’est un tsunami ! » Christophe, bonnet vissé sur la tête, est dans le cortège à Mulhouse. Comme lui, des milliers d’ouvriers de l’industrie se sont mobilisés ce jeudi 12

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