Veni, vidi, Vinci !

Publié le 7 mai 2013
Vidéo réalisée avec les Mutins de Pangée
Sur le site des Échos, le mardi 16 avril, on pouvait suivre en direct " le live de l'assemblée générale " de Vinci.
11h47 : La série de questions démarre
12h06 : Émoi autour d'un salarié payé 610 euros par mois pour 40 heures par semaine. Un scandale... Il y a un peu de grabuge. Xavier Huillard [PDG de Vinci] payé deux millions d'euros, contre 610 euros. Quelques troubles...
Réponse du PDG : les 610 euros, c'est chez un sous-traitant selon Xavier Huillard. Vinci déclare respecter les lois et les réglementations sociales.
12h09 : Un participant a été sorti manu militari car il y a des troubles sérieux. On ne comprend plus rien aux réponses. C'est un peu "le bazar".
L'AFP, Reuters, Le Moniteur, Investir ont ainsi retracé, minute après minute, les exploits de notre Comité d'intervention en assemblée générale (Ciag), qui réserve quelques surprises aux actionnaires. Et un peu de sport au PDG.
Le site du journal Challenges en a même fait un bel article...
(À lire aussi : le reportage du Nouveau Jour J)
Mais quel est le souci ? Pourquoi la CGT Vinci manifestait-elle devant l'entrée de l'AG, au Carrousel du Louvre ? Pourquoi notre Ciag a-t-il choisi cette firme comme cible, elle qui " fait beaucoup pour la biodiversité en France ", qui proclame que " les vraies réussites sont celles que l'on partage " ?
Et bien voilà :
sur le chantier du stade de Nice, deux Polonais sont morts à que
Articles associés
Pour ne rien rater, inscrivez-vous à la
NIOUZLAITEUR
Les plus lus
Fakir vous emmène au théâtre! Parce que c’est une pièce, qui s’est jouée au tribunal correctionnel de Paris pour le procès de Bernard Squarcini, accusé…
La victoire est possible : c’est une chance, une accélération de l’Histoire, comme il s’en offre parfois.
Au moment où bénéfices et dividendes battent tous les records, Macron, Attal et Le Maire ont eu une idée géniale pour trouver de l’argent, et…
Ils étranglent les clients – les Français. Ils étranglent leurs propres salariés, leurs gérants. Ils étranglent leurs fournisseurs. Ils étranglent, même, les comptes publics. Tout…
« Poules », « moutons », « bétail », « troupeaux », « machines »… Les professionnelles de la petite enfance ne sont pas tendres avec nos bouts de chou. Peut‑être parce qu’elles sont elles‑mêmes…