Histoire

« Nous n’accepterons pas la réécriture haineuse du passé. Ce combat est inacceptable quand il est récupéré par les séparatistes. Ce combat est dévoyé lorsqu’il se transforme en communisme ! » Pour Emmanuel Macron, la lutte contre le racisme n’est qu’un prétexte pour quelques gauchistes. « On commence par critiquer l’esclavage et ensuite on finit à la CGT à réclamer des hausses de salaire ! D’accord, l’esclavage c’était pas gentil, mais je préfère régler les problèmes du XXIe siècle que ceux du XVIIIe. Et puis, il faut regarder l’histoire en face, et reconnaître que l’esclavage a posé les bases du capitalisme moderne. En termes de management, on n’a pas fait mieux depuis ! »
Agilité, mobilité, flexibilité, mondialisation… tout était là. « Alors je veux bien qu’on en critique les excès mais avec nuance. Tout n’est pas noir ou blanc ! » Et Emmanuel Macron de mettre en garde contre les dangers d’une telle dérive, pointant l’incohérence des revendications. « Ce sont les mêmes qui défendaient le code du travail qui fustigent aujourd’hui le Code Noir qui mettait pourtant un peu d’ordre dans la traite négrière. Faudrait savoir ! On régule ou pas ? »
« Aujourd’hui Colbert, et demain Uber ? Où s’arrêtera cette folie ? » Emmanuel Macron a exhorté les manifestants à ne pas se laisser récupérer par les anticapitalistes. « Ils se tirent une balle dans le pied. Car qui sont les principaux bénéficiaires de l’ubérisation ? J’ai pas vu beaucoup de Français de souche avec des sacs Deliveroo… » Selon lui, il ne faut pas se tromper d’ennemi. « Le méchant Blanc capitaliste, jusqu’à preuve du contraire c’est bien lui qui vous offre des postes de vigiles ou de livreurs. Et c’est quand même mieux que la prison ! »
I can’t breathe

« Je ne peux plus respirer ! »
Le Président a voulu recadrer les choses : « Qui peut rester insensible à la détresse du patron étouffé par les charges ? De l’actionnaire étranglé par les taxes ? Du cadre dirigeant tabassé par les impôts ? S’il existe un racisme systémique en France, c’est bien celui qui touche les riches » constate Emmanuel Macron. Une haine qui les oblige à délocaliser, et les repousse toujours plus loin sur les routes de l’exil fiscal. Une haine qui fait dire à un futur président en campagne : « Je n’aime pas les riches. » « C’est un véritable racisme d’État, et de son bras armé, les inspecteurs des impôts ! » Car non, le racisme anti riches n’est pas l’apanage de quelques brebis galeuses. Il fait système. « Il a fallu trente ans pour réussir à abolir l’Impôt sur la Fortune contre vents et marées ! » Mais la spoliation continue. « Il est temps de faire repentance et de rendre à qui de droit les milliards volés. » Le Président veut également solder définitivement les horreurs de la Commune ou du Front Populaire. « Il faut avoir le courage de regarder les heures les plus sombres de notre histoire. Ne jamais oublier que chaque jour de congé est taché du sang d’un patron ! » « Depuis la Révolution, les Français n’en finissent plus de couper des têtes ! il faut rompre avec cette sauvagerie. » Fillon, de Rugy, Balkany…. La liste est longue selon lui des victimes du populisme, sorte de Terreur 2.0, qui exige son lot de sacrifices pour apaiser la colère du peuple. « Je serai le Président de la paix civile, celui qui rendra aux riches la place qu’ils méritent dans le patrimoine français. »
Violences fiscales

« Ils ont roulé ma feuille d’impôts et l’ont enfoncé… très profond ! » Depuis ce contrôle fiscal houleux, Jean‑Eudes, trader, n’ose plus sortir de chez lui. Mais il entend bien faire de son anus artificiel le symbole de la lutte contre les violences fiscales. « Il faut entendre le ras‑le‑bol de cette vieillesse harcelée tous les jours en bas de son hôtel particulier par des cow‑boys ! » Les témoignages affluent pour dénoncer la violence et le racisme des inspecteurs des impôts. « Taxe ta mère ! », « Je vais te spolier dans ma cave ! », « On va nationaliser la boîte de papa ! », autant d’injures et de menaces des agents de l’État qui accompagnent les contrôles fiscaux quasi quotidiens. « On va faire le ménage à l’inspection des impôts. On ne peut pas contrôler, pour ne pas dire harceler, toujours les mêmes ! Et comme par hasard, ils sont toujours riches et blancs. » Bruno Le Maire est bien décidé à s’attaquer de front au délit de faciès qui gangrène l’impôt en France. Et de regretter le départ de Gérald Darmanin de Bercy. « Quand on évoquait le harcèlement, il savait de quoi il parlait le Gégé ! »