Nous : le clébard, son maître et nos maîtres
De la promenade du chien au combat pour la démocratie… Rien que ça, oui !

Publié le 17 décembre 2024
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« Eh, vous avez vu, là, le petit trou dans le plafond ?
— Ah ouais… C’est bizarre quand même, d’où il sort ? Il n’était pas là vendredi.
— Y a juste la place de laisser passer un tube avec une micro‑caméra au bout ! »
Avec l’approche du procès de Squarcini, l’ancien chef des Renseignements, et de l’espionnage de Fakir à l’époque de Merci Patron ! (voir page 8 et suivantes), nous voilà retombés dans la suspicion active, comme de vieux réflexes, une sorte d’inconscient qui se réveille : la sensation qu’on peut être espionnés, écoutés, et que ce n’est pas de la parano.
Il y a cette histoire, aussi, de ce gars qui promenait son chien devant Fakir, tous les matins, les semaines qui précédaient le procès. Clément et Tristan l’avaient repéré, il était même venu lui parler, au dirlo, lui demander quelques renseignements. Certes, personne ne le connaît dans le voisinage, et on ne l’avait jamais vu avant, mais pas de quoi en faire un plat. Ce qui nous a semblé étrange, c’est quand on l’a vu promener son chien, tous les soirs cette fois, devant le domicile personnel de Tristan… à cinq kilomètres de là. Sacré hasard, quand même ! Ce serait de la surveillance déguisée qu’on ne s’y prendrait pas autrement…
Le maître et son chien ont disparu aussi brusquement qu’ils étaient apparus. Parano, le rédac’ chef, vous vous dites ? Ils exagèrent, les Fakiriens ?
On vous laisse lire le dossier, de ce moi
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