Droit décent
« Quiconque est allé en Kanaky mesure que le mot de submersion est le plus adapté ! » François Bayrou persiste et signe dans sa lutte contre la colonisation sauvage qui ravage l’île et attise le ressentiment. « Un blanc seul, s’il s’adapte aux coutumes locales, il est accueilli les bras ouverts. Mais avec près de 25 % d’européens sur l’île, les kanaks ont le sentiment de ne plus être chez eux. » Et si vous rajoutez à cela « le bruit, l’odeur et le racisme, le kanak il devient fou ! »
« Le droit du sol n’est pas un totem. Nous n’aurons aucun tabou. » Le gouvernement Bayrou entend ainsi s’opposer à toute modification du corps électoral qui remettrait en cause les valeurs kanakes. Car au-delà du nombre, c’est surtout le mode de vie des européens qui pose problème : « Ils accaparent les richesses, les ressources, exploitent les kanaks de souche et ils vivent dans des ghettos de riches sans chercher à s’intégrer. » Ce qui fait dire au ministre des Outre-mer, Manuel Valls, que « la Kanaky, tu l’aimes ou tu la quittes. »
Des outre-mer qui ne seront d’ailleurs pas les seuls territoires à bénéficier de cette politique disruptive. François Bayrou entend étudier « le problème des Hauts-de-Seine et de son invasion massive dans certains secteurs de bourgeois avec leur cortège de fraudes fiscales et d’abus de biens sociaux ». Pour lutter efficacement contre le grand banditisme qui gangrène cette zone de non-droit, François Bayrou a demandé au ministre de la Justice Gérald Darmanin d’interdire les téléphones portables aux cent plus gros escrocs sous bracelets électroniques, « pour prévenir la ré