Ode à Fakir (et aux Petites mains)
De Jean-Yves, de Gilly-sur-Isère (73).
« Longue vie aux petites mains fakiriennes, bûcheuses, appliquées, consciencieuses… » : Jean‑Yves nous envoie un poème qu’il nous dit généré par « l’intelligence » artificielle. Moralité : les Petites mains bossent, au moins elles ! Et plus que lui !
Ô Fakir, journal de la crampe,
Tu fais grincer les dents, tu fais gronder la rampe,
Fâché avec la droite, fâché avec la gauche,
Et même avec ceux qui veulent juste un bain chaud.
Car Cyril, rédac’ chef sans pitié,
À refusé, l’œil pli